TINO ROSSI et le Bicentenaire de NAPOLEON 1°
avec la GARDE REPUBLICAINE

Pour le bicentenaire de la naissance de Napoléon Bonaparte, Tino Rossi a enregistré, avec le concours de la garde républicaine, quelques chants emblématiques de la période Impériale

 

 

TITRES ENREGISTRES

Chansons

L'Ajaccienne
Parlez nous de lui
Le Rêve passe
Le Rocher de Sainte Hélène

Musique
La Marche du 1° Consul
La marche de la Garde Consulaire à la bataille de Marengo
La victoire est à nous

TITRES ENREGISTRES

Chansons
Schoenbrunn
Partant pour la Syrie
Dio vi Salvi Regina

Musique
La marche des bonnets à poils
L'ordonnace des fifres et tambours
La marche d'Austerlitz
La marche du sacre de Napoléon

 

TEXTES DES CHANSONS

 

L'Ajaccienne

Réveille-toi ville sacrée
Entends l'orgueil et ton amour
La Sainte Famille est rentrée
Les exilés sont de retour
Les exilés sont de retour
Oh les voici, victoire! Victoire!
Qu'il soit fêté dans sa maison
L'enfant prodigue de la gloire
Napoléon, Napoléon
L'enfant prodigue de la gloire
Napoléon, Napoléon
Plus tard après les pyramides
Dans nos murs il revint encore
Avec les mameluks, les guides
Lannes, Murat, l'état-major
Lannes, Murat, l'état-major
Lui, portait la capote grise
Le sabre turc, le chapeau long
Avec cette seule devise
Napoléon, Napoléon
Avec cette seule devise
Napoléon, Napoléon
A genoux citoyens et frères
Son ombre descend parmi nous
Dans Ajaccio, sur nos pierres
Citoyens, frères, à genoux
Citoyens, frères, à genoux
Que sur nos places, dans nos rues
L'on n'entende plus que ce nom
Du fond du cœur jusque aux nues
Napoléon, Napoléon
Du fond du cœur jusque aux nues
Napoléon, Napoléon

Parlez nous de lui
Le Rêve Passe

Les soldats sont là -bas endormis sur la plaine
Où le souffle du soir chante pour les bercer,
La terre aux blés rasés parfume son haleine,
La sentinelle au loin va d'un pas cadencé.
Soudain voici qu'au ciel des cavaliers sans nombre
Illuminent d'éclairs l'imprécise clarté
Et le petit chapeau semble guider ces ombres
Vers l'immortalité.

Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Glorieux fous
D'Austerlitz que l'Aigle regarde,
Ceux de Kléber,
De Marceau chantant la victoire,
Géants de fer
S'en vont chevaucher la gloire.
Mais le petit soldat
Voit s'assombrir le Rêve,
Il lui semble là -bas
Qu'un orage se lève,
L'hydre au casque pointu
Sournoisement s'avance ;
L'enfant s'éveille, ému,
Mais tout dort en silence
Et dans son cœur le songe est revenu.
Les canons !
Les clairons !
Ecoutez !
Regardez !
Les voyez-vous,
Les hussards, les dragons, la Garde,
Ils saluent tous
L'Empereur qui les regarde.
Fiers enfants
De la race
Sonnez aux champs,
Le rêve passe.

Le Rocher de Sainte Hélène
Schoenbrunn
Partant pour la Syrie
Dio vi Salvi Regina